Elle presse également les Etats membres de l’OSCE de mettre en oeuvre des
législation condamnant spécifiquement les "crimes haineux" qui inclue les personnes trans. Elle invite les partenaires sociaux à agir pour faire cesser toute discrimination à l’encontre des personnes trans sur la place de travail. Elle presse également
les instances de santé et l’OMS de faire disparaitre toute discriminiation et toute pathologisation des personnes
trans dans leur pratique et dans des documents de références comme le DSM et l’ICD.
Gageons que cette déclaration contribuera à faire bouger les choses dans des pays qui, même quand ils se prétendent la patrie des droits humains, s’acharnent à
conserver des pratiques gravement discriminatoires à l’encontre des personnes trans.
Par ailleurs, elle montre aussi combien, sur le plan juridique, la documentation de l’Union européenne prend en compte les difficultés des personnes trans. Il
reste aux pays membres à bien vouloir entendre... lien de l'article : www.vrais-visages.net/spip.php?article123
- Première partie de l’étude du Conseil de l’Europe - Deuxième partie de l’Etude du Conseil de l’Europe - Prise de position du comissaire de l’Union Européenne aux droits humains
sur les droits humains des personnes trans - texte de la déclaration des droits des trans, telle qu’adoptée durant la
conférence de l’ILGA-Europe (en anglais)